Ce 28 février, le président Macron en personne vient assister, à Jarnac, avec le ministre de l’Education Nationale, Pap n’Diaye et le ministre de la Santé, François Braun, à une séance exceptionnelle de vaccination de collégiens.
Les parents d’élève ont reçu il y a trois jours, une lettre du collège intitulée « campagne de vaccination » annonçant l’intervention du services de vaccinations du Conseil Départemental. « Vous avez été destinataire d’un document d’éventuelle autorisation de vaccination lors de cette journée (du 28 février) ». Le collège demande aux parents de confier le carnet de santé de leur enfant au collège. Une autorisation de prise d’image est aussi demandée à l’occasion de la venue « d’une délégation de personnalités publiques. »
La citoyenne qui nous alerte a adressé un courriel au chef d’établissement, M. Gaurichon : « On s’adresse avec toute la force du pouvoir à des mineurs : veillera-t-on préalablement à toute injection à recueillir le consentement (libre et éclairé) des parents de l’intéressé ? Comment sera préservé le secret médical ? Est-ce logique que le médical entre dans les établissements scolaires ? »
Quand on connaît les dégâts de la vaccination contre la Covid 19 sur des enfants qui n’étaient en rien concernés par cette maladie en 2020, il y a de quoi se poser quelques questions. Faut il rappeler que l’une des toutes premières mesures du président Macron en 2017, après son élection, aura été le vote de la loi sur les 11 vaccins obligatoires ?
Une belle opération de communication et de marketing sous couvert de la santé.