MARIA VALTORTA Visionnaire de ces derniers temps

MARIA VALTORTA À LA UNE !

Don Ernesto Zucchini et la Fondation Maria Valtorta ont reçu de la Secrétairerie d’Etat du Vatican, une lettre signée du pape François, datée du 24 février 2024 : « Je vous encourage à poursuivre avec enthousiasme votre mission de faire connaître la vie de Maria Valtorta et son œuvre littéraire, et tout ce qu’elle peut offrir pour le bien de l’Église et de la société. En avant ! »

Un court communiqué du Vatican sur les écrits de la mystique catholique italienne Maria Valtorta vient de mettre en émoi le petit monde catholique français. Le texte publié en italien par le Dicastère pour la Doctrine de la Foi (ex Saint-Office), en date du 22 février dernier, indique que « les prétendues visions et révélations contenues dans les écrits de Maria Valtorta (…) ne peuvent être considérées comme d’origine surnaturelle ». Les grands médias catholiques et Wikipédia ont relayé l’information en évoquant une « condamnation » de l’œuvre principale de Maria Valtorta, intitulée en français « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé » (le titre originel italien « Le poème de l’Homme-Dieu », sans doute meilleur, ne donne pas l’impression de concurrencer l’Evangile). Mais il semble que le communiqué du Vatican n’apporte, en réalité, rien de nouveau. Comme une note de la Conférence des Évêques de France, qui avait déjà mis en garde, en 2021, contre l’idée que de telles « méditations » puissent remplacer l’Évangile , il s’inscrit dans une longue série de réserves et de controverses entre des institutions et personnalités d’Église – jusqu’au pape François lui-même – au sujet de cette mystique qui connait un succès d’édition croissant.

En réalité, la dernière enquête du Vatican sur Maria Valtorta date de 1959, et elle aboutit l’année suivante à une mise à l’Index de ses écrits. La censure du Saint-Office avait, à l’époque, des réticences envers les mystiques et elle s’opposa aussi à sainte Faustine Kowalska (mise à l’Index en mars 1959), à saint Padre Pio (combattu à partir de juillet 1960), ou à mère Yvonne-Aimée de Malestroit (procès interrompu en juin 1960 car « trop de miracles »). Mais l’Église ne prétend aucunement à l’infaillibilité dans ce type de jugement : en canonisant Padre Pio et Faustine Kowalska, elle reconnaît les manques de discernement passés, comme cela arrive souvent. On peut citer à ce sujet le cas emblématique de Jeanne d’Arc, condamnée à être brûlée vive sur la base de 70 faux chefs d’accusation, qui sera finalement canonisée 500 ans plus tard, ou l’exemple de Medjugorje, combattu et déclaré « non surnaturel » pendant des décennies, avant de recevoir finalement en 2024, le plus haut degré d’approbation possible selon les nouvelles normes.

Ce qui interroge aujourd’hui, c’est que le texte du Vatican affirme que les visions de Maria Valtorta « ne peuvent être considérées comme d’origine surnaturelle » et qu’elle ne serait en fait qu’une romancière très imaginative. Or, ses 9 000 pages écrites à la main, d’une traite, sans la moindre rature, décrivent 750 personnages dont 230 validés par des sources historiques (comme le montre le dictionnaire publié par François-Michel Debroise et son site encyclopédique), 70 groupes ethniques, 220 villages, 110 sites géographiques, 150 plantes, 200 espèces animales, 50 espèces minérales et 24 000 détails concrets vérifiés et validés sans erreurs ni anachronismes par Jean-François Lavère qui, de son côté, a publié sur la géographie extraordinaire des visions. On aurait pu arguer que cela pouvait aussi venir du diable, ou être mêlé, mais comment une femme clouée au lit aurait-elle pu « romancer » tout cela, seule, sans aide, grâce à de simples « méditations » ?

 

Source:

  https://www.laselectiondujour.com/maria-valtorta-doute-extraordinaire-visionnaire-monde

Depuis 2000 ans, plusieurs mystiques catholiques ont vu des bribes de l’Évangile. Mais seules trois femmes en ont eu une vision abondante : Marie d’Agréda au XVIIème, Anne Catherine Emmerich au XIXème et Maria Valtorta au XXème siècle, en pleine seconde guerre mondiale. Parmi elles, seule Maria Valtorta (1897-1961), tertiaire italienne des Servites de Marie, transcrit de sa main et en direct les centaines de visions de la vie de Jésus qu’elle reçoit. Elle couvre quelque 9000 pages, en 4 ans, nous laissant ainsi la plus volumineuse biographie de Jésus de l’histoire. En sus, Maria Valtorta transcrit près de 4000 autres pages d’enseignements théologiques que lui donne le Ciel, principalement sous la forme de dictées.

Écrites sans aucunes ratures, les milliers de pages manuscrites relatent, dans un style vivant et passionnant, les actes et les enseignements de Jésus au cours de ses trois années de vie publique, et les scènes de son enfance.    

Qui est Maria VALTORTA ?

Maria Valtorta, née à Caserte le 14 mars 1897 et morte le 12 octobre 1961 à Viareggio, est une mystique catholique italienne. Elle est l’auteure de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, qui relate la vie de Jésus, ainsi que d’autres ouvrages présentant sous forme de dictée des enseignements de Jésus, de Marie, de l’Esprit-Saint, de son ange gardien et de différents saints.

De la souffrance à la Lumière

Un contraste vertigineux s’approfondit dans sa vie :

D’une part, la tutelle autoritaire de sa mère qui avait brisé sa jeunesse et ses fiançailles. Et d’autre part, la vocation à la souffrance souvent plus lumineuse pour les autres que pour elle-même. Cela s’éclaire à la lumière des dernières années de Thérèse de Lisieux quand dans la même nuit des sens et de l’esprit, elle ne veut plus être que souffrance comme le Christ en croix à l’heure où il allait jusqu’à dire sa dernière parole selon Marc : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »[33]    

Le guide spirituel de Maria Valtorta de 1942 à 1946, fut le Père Romualdo Migliorini (1884-1953). C’est un servite de Marie, ordre mendiant fondé en Toscane au XIIIème siècle. Il avait été Préfet apostolique de son ordre en Afrique du Sud avant de devenir Prieur du couvent San Andrea de Viareggio. Il est frappé par la grandeur d’âme de Maria Valtorta et lui demande d’écrire l’histoire de sa vie car Maria Valtorta pense sa fin prochaine. Elle s’exécute en deux mois, de février à avril 1943, elle a 46 ans.

Au plus sombre de la guerre, il lui fournit les cahiers d’écolier nécessaires. Elle y écrit d’abord son Autobiographie, mais aussi toutes les autres œuvres qui vont lui être inspirées jusqu’en 1950. L’ensemble couvre 15.000 pages sur 122 cahiers.  

Maria Valtorta en 1943

Le 23 avril 1943, le Jeudi-Saint, Maria Valtorta reçoit sa première vision et les dictées de Jésus pour notre époque débutent.

Source : https://fr.mariavaltorta.wiki/wiki/Maria_Valtorta

 

 

Une décennie après la mort de Maria Valtorta, des chercheurs commencent à analyser ses textes et à vérifier les précisions théologiques, linguistiques, historiques, archéologiques et scientifiques dont ils fourmillent. À ce jour, l’exactitude de quelque 20.000 de ces détails a été confirmée. De nombreux sites décrits par Maria Valtorta (Gérasa, Bethsaïde, l’aqueduc de Tibériade, la tombe d’Hillel, l’enceinte de Jezraël, la digue de Ptolémaïs, le palais de Lazare à Jérusalem, etc.) furent excavés ou confirmés lors de fouilles, bien après son décès. De même, les contrôles par ordinateur confirment que les quelque 200 indications stellaires présentent au fil de l’œuvre correspondent avec les cartes du ciel d’il y a 2000 ans. Ces écrits nous permettent, pour la première fois depuis 2000 ans, de retracer la trame historique et géographique de la vie publique de Jésus Christ, semaine après semaine, village après village, en parfaite cohérence avec les quatre Évangiles canoniques. De leur côté, les biblistes ayant passé cette œuvre au peigne fin ont dénombré la présence d’au moins 3133 références à la Septante en usage au temps de Jésus, alors même que Maria Valtorta acheva sa scolarité à 16 ans et ne reçut sa première Bible qu’à l’âge de 47 ans.

Quel que soit l’angle par lequel on observe cette œuvre, on parvient toujours à la même conclusion : elle a Dieu pour origine et pour finalité, faisant d’elle un miracle intégral offert à notre temps égaré entre confusion relativiste et incrédulité rationaliste.

 

Dossier source sur Maria VALTORTA

  https://edifiant.fr/maria-valtorta/

 

Pour en savoir plus :

Voir notre série Marie de Magdala « L’Apôtre des Apôtres » Selon les extraits de l’œuvre de Maria Valtorta avec Arnaud Lefèvre conférencier sur notre plateforme :          https://www.citizen-v.com/fr/toutes-les-emissions-tv/miracles-et-propheties-la-serie-  

 

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