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Formes géométriques observées dans les « vaccins » anti-covid : l’ANSM alertée par courrier

Formes géométriques observées dans les « vaccins » anti-covid : l’ANSM alertée par courrier

Un courrier a été adressé à l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament afin de demander une expertise urgente suite aux observations publiées par plusieurs scientifiques de corps étrangers non biologiques et non déclarés.

Le lanceur d’alerte qui souhaite garder l’anonymat, Docteur G, écrit à l’ANSM : « Dès que M. Macron a décidé de réquisitionner si besoin les vétérinaires pour aller vacciner contre le covid la population française je me suis plongé dans la littérature scientifique afin de comprendre comment ces vaccins ont été conçus.

Je n’aurais jamais accepté d’injecter quelque chose que je ne connais pas, d’autant plus que le seul essai de vaccination chez les animaux contre un coronavirus (PIF chez le chat) s’est avéré catastrophique (…) Les chatons « vaccinés » mouraient plus souvent que les non vaccinés…

Dans mes recherches j’ai trouvé deux publications qui font état de corps étrangers non identifiés et non déclarés dans le contenu des flacons de vaccin contre le Covid.

Les images publiées dans ces deux articles sont retrouvées dans des vidéos visibles sur le net… par exemple Google taper crowdbunker ; barre de recherche: microscope  hémogramme allemand.

Ces images sont publiées depuis des mois par des chercheurs et des observateurs très différents, ce qui doit vous alerter.

Ces choses non identifiées sont retrouvées dans le sang des personnes vaccinées, d’après les auteurs cités ci joint. »

Le Docteur G. s’appuie notamment sur un dossier publié en décembre 2021 par un scientifique, Mike Andersen, qui détaille le fonctionnement d’un nanoréseau qui peut être intégré au corps humain par les « vaccins » anti-covid. Un interface homme-machine serait ainsi formé.

Le document présente comment les nano particules de graphène peuvent former des nanocapteurs, des nanoantennes, des nanorouteurs, des nanointerface. Ces dernières peuvent crypter les données collectées et les transmettre à l’extérieur. Ce nanoréseau interagit sous forme d’impulsions électro-magnétiques et de champs électriques.

Ce nanoréseau intracorporel, qui nécessiterait plusieurs injections afin d’être completé, se fixe également dans le cerveau. Il forme alors un interface neuronal pouvant interagir avec l’activité cognitive, physique et les process électriques.

Le Docteur G poursuit, dans son courrier à l’ANSM : « Il  est de votre devoir de demander une expertise très rapide…un microscope à fond noir suffit pour voir dans l’excipient (semble t-il) ces structures variées dont certaines ont des formes géométriques attestant de leur nature non biologique…

L’histoire vous observe….la santé de millions de personnes dépend de vous. »

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