A l’occasion de son procès contre l’Agence France Presse, la première agence mondiale d’information, Pierre Barnérias sort de son silence et revient sur cette censure historique dont a fait l’objet son cinquième documentaire cinéma, Hold-Up.
Un film de 2h41, avec pas moins de 2 Prix Nobel et une pléiade de professeurs en médecine, en chimie des docteurs en droit, des généticiens de renom, des experts en anthropologie de la santé.
Plus d’une cinquantaine de participants au total. Une semaine avant sa sortie le 11 novembre 2020, une copie de travail et non définitive
du film se retrouve sur les réseaux sociaux. En moins de 24 heures, ce documentaire long métrage est retiré de la vente par la plateforme américaine Viméo malgré un énorme succès.
26 000 personnes achètent le film en une seule journée. Le réalisateur et producteur ne touchera pas un seul centime de cette vente en ligne puisque la plateforme américaine décide de rembourser toutes lespersonnes qui ont loué ou acheté le film. Un véritable hold-up, orchestré et cautionné par toute la presse française.
En moins de 3 jours, 524 articles sont publiés pour enterrer
définitivement ce film, accusé de complotisme, de désinformation et de manipulation.
A l’origine de cette campagne de démolition, deux articles de presse, celui de Libération du 11 nov 2020 et de celui de l’AFP de Julie Charpentrat en date du 13 nov 2020, et repris par toutes les chaines et radios d’information.
Le réalisateur devrait bientôt sortir un livre sur les acteurs de l’ombre de cette campagne médiatique de démolition.
En attendant l’im-possible procès.
Rendez vous le 17 octobre à 13H30 pour connaitre la décision des juges de la 17 ième chambre du Tribunal Judiciaire de Paris.
Laurence Camilleri Reporter