L'eau source de vie et de santé
L’eau va-t-elle devenir le nouvel enjeu de toutes les peurs, de toutes les catastrophes spéculatives
dont la planète risquerait d’être frappée dans un futur plus ou moins proche si nous ne faisions rien ?
L’eau, une denrée rare ?
Pas vraiment et pourtant… Le terre, planète bleue, est effectivement composée majoritairement
d’eau salée, pas forcément biodisponible pour l’humain et le vivant terrestre;. Néanmoins les
atomes d’hydrogène et d’oxygène sont les plus présents dans l’univers.
Le corps humain est également composé à 96% de molécules d’eau chez une femme adulte et à 97% chez un homme selon le Pr Marc Henry 1 . Il insiste d’ailleurs sur la différence entre la masse atomique
(70%) et le nombre de molécules, facteur essentiel pour les mécanismes électromagnétiques.
Sous forme liquide, gazeuse, solide, l’eau est aussi présente chez les êtres vivants sous une autre forme moins connue, mais capitale.
Des avancées scientifiques récentes
Depuis les années 2010, de nombreuses découvertes et études scientifiques ont confirmé la présence d’un quatrième état de l’eau 2 .
Alors que de nombreuses propriétés de l’eau restent encore inexplicables pour les physiciens, ces
avancées permettent de mieux comprendre le rôle de l’eau dans le cycle du vivant.
L’eau, la médiatrice entre deux mondes
Si les habitués du Vedanta* et du discernement le savent depuis des millénaires, les physiciens
modernes ont mis en lumière que la matière n’est qu’une illusion fabriquée par le mental.
L’existence de toute matière n’est qu’éphémère et l’illusion de sa continuité n’ est due qu’au cerveau et à nos pensées.
Il existe donc deux mondes : Celui visible de la matière, du connu, des pensées, des affects, des concepts, des percepts.
Comme le Totum d’une plante : le Tout est supérieur à la somme des parties.
Car les interactions entre les deux mondes ne sont possibles qu’ avec l’un ET l’autre simultanément !
Et l’eau, dans son quatrième état, en serait, ou en est, l’interface.
Le 4ème état de l’eau
Baptisée Water pour Exclusion Zone par le Dr Gerald Pollack 5 , l’eau sous forme de gel est
structurée en nid d’abeille (H 3 0 2 ), a plusieurs rôles essentiels dont :
– Capter, stocker et redistribuer de l’information via les fréquences des photons, en
particulier infrarouges ;
– Produire de l’énergie ;
– Éliminer.
Douleurs et maladie
Si cette eau EZ H 3 0 2 est étouffée par l’eau acide H 2 0, le bon fonctionnement des cellules, donc de
l’organe impacté, va s’affaiblir par défaut d’élimination, empoisonnement acide et perte d’énergie.
L’accumulation des acides par le stress, les émotions désagréables, une alimentation industrielle,
trop de féculents, trop de protéines animales, le déficit en micronutriment, le manque d’activité
physique, la pollution électromagnétique, environnementale, etc. est donc directement lié à la
vitalité des cellules et donc de l’organisme.
Une vision plus proche du fonctionnement de la cellule, intégrant les échanges électromagnétiques
et la molécule la plus présente dans le corps humain, l’eau, est assurément plus explicative qu’une
vision moins radicale et superficielle de la seule chimie des organes. Ce d’autant plus qu’une vision
trop spécialisée en oublie la notion incontournable du Totum, de la globalité.
De l’origine de la souffrance
Les sagesses anciennes nous le rappellent et la physique moderne le confirme : la souffrance nait de
l’attachement à l’identification d’un personnage qui n’est réel qu’à 0.001 %.
S’il ne s’agit pas de nier ce personnage, il convient de le remettre à sa juste place. Une déformation
de l’espace temps qui a un début et une fin, certes, mais dont la nature est éternelle.
Une vague prend naissance dans l’océan et se termine sur la plage. Mais elle ne cesse en aucun cas
d’être de l’eau. Nous sommes tous comme la vague, unis dans notre nature commune, matérialisée
de façon éphémère par l’eau et la lumière.
La souffrance est donc liée au fait de refuser la réalité : entre ce que je veux et ce qui est, il y a un
écart qui nous sépare de notre nature ultime, le vide.
Par des contractions-dilations de nos zones d’eau, nos molécules d’eau construisent notre vécu,
notre mémoire, nos perceptions et le mental ne fait que réagir à ces stimuli perçus.
Faut-il s’inquiéter ?
Les mécanismes décrits sont naturels. Nous pouvons en observer certains au microscope et
confirmer d’autres via des expériences cliniques, notamment avec certaines pratiques de relaxation
et d’élimination des acides.
Alors est-il raisonnable de vouloir contrôler la Vie ? De s’en inquiéter dans un espace temps d’une réalité perçue, peu représentative de la réalité ultime ? Ne serait-ce pas plutôt la Vie qui se joue à
travers nous ? Voilà une nouvelle histoire à envisager.
1 Le Professeur Marc Henry, ingénieur chimiste, docteur es Science, directeur de recherche au CNRS et
spécialiste de l’eau, explique qu’une cellule du corps humain est faite à :
– 99,1% de molécules d’eau
– 0,5 % de ions
-0,4 % de molécules organiques avec ADN, protéines…
Cf https://marchenry.org/
Conférences du Dr Gerald Pollack https://www.pollacklab.org/
Par Thierry Alingrin
Article : https://www.amilo.earth/eau-source-vie-sante/?part=359