Texte lu ce samedi 18 novembre à Aix en Provence en hommage aux victimes et familles de victimes de ces vaccins arn expérimentaux
Je suis venu avec 2 petits mots et le dos rond
De petits mots en voie de disparition,
Comme pour être à l’unisson avec tous ces abandons
Que ces 3 années ont causé, faute d’informations.
Devant cet océan indescriptible de vies assassinées et de cœurs déchirés
Devant ce silence inadmissible, de ces producteurs d’ignorance
Qui depuis 3 ans, continuent de se mettre en scène pour mieux jouir de leur arrogance.
Devant leurs mensonges et leurs anathèmes érigées en vérités à leur bon gré
Devant leurs écrans et leurs antennes, dégoulinant de dépêches AFP,
adorées, jamais vérifiées, toujours orientées
Devant cet objectif inavouable et indicible
ou notre humanité est pris pour cible,
par des blouses blanches indifférentes à tout
sauf au profit qui les transforme en marabout.
Devant ces expériences inédites dans l’histoire
Qui font de nous des rats de laboratoires,
Sous les regards amusés, de ces fossoyeurs de vérité
Qui grâce à la peur qu’ils diffusent ouvrent les portes des abattoirs.
Devant la peine et la douleur, de voir tous ces mouroirs
Face à ces familles sacrifiées par la folie de quelques uns
la trahison du plus grand nombre et l’impunité des uns
Face au chaos orchestré dans le secret des lâches
Qui se taisent alors qu’ils savent
Un sentiment profond me pousse à dire Pardon.
Pardon et Merci
Pardon pour cette information dévoyée,
Principale alliée de cette guerre bien déclarée
contre les peuples et par des dirigeants illuminés.
Pardon pour cette humanité qui ne croit plus en elle-même
Et qui,chaque année, investit toujours plus dans des bombes toujours plus meurtrières,
qu’elles soient visibles ou invisibles.
Il n’y a pas de bons ou de mauvais camps
Il n’y a qu’un perdant : notre humanité.
Pardon pour toutes ces déontologies,
foulées aux pieds en si temps de temps,
par des sachants méprisants
Et des journalistes à l’arrogante ignorance.
L’épreuve et la douleur révèlent les êtres. Elles font le tri et renforce les liens.
Merci à vous de restez debout
quand tout s’acharne et vous pousse à bout.
Pierre Barnérias