POINT DE VUE Été 2023 :  » Anéantissez la presse pour s’habituer à la PAIX…30 Janvier 1919″ Par Pierre Barnérias Réalisateur

Dans un livre à sortir prochainement, Pierre Barnérias, fondateur de Citizen Light, revient sur le pouvoir et le rôle de de la presse dans la gestion de cette crise et dont la finalité aura été l’injection de 50 milliards de doses d’un produit dont personne ne connait la composition. Quand un documentariste et ancien grand reporter croise les écrits cinglants contre la presse d’un écrivain journaliste visionnaire de la fin du XIX siècle, la lecture des évènements prend un tout autre relief.

« Si vous chercher la paix, anéantissez la presse ! »Ce cri n’est pas celui de manifestants excédés devant les montagnes de mensonges et les trahisons coutumières de journalistes à l’ignorance arrogante et dégoulinants de suffisances. Non, cette supplique est née le 30 janvier 1919 sur les cadavres encore fumants du carnage de la première guerre mondiale. On doit cette invitation sans retenue à un écrivain mystérieux B.Straven auteur de plusieurs ouvrages comme «  Dans l’état le plus libre du monde » Dans son journal, Der Ziegelbrenner, le journaliste s’en prend avec des mots d’une rare violence à un système, la Presse.

« Une catin publique »

« Humains, vous n’avez qu’un ennemi. C’est le plus dépravé de tous. La tuberculose et la syphilis sont des fléaux terribles qui font souffrir l’homme. Mais il existe un fléau plus dévastateur que la peste qui ravage le corps et l’âme de l’homme, une épidémie incomparablement plus terrible, plus sournoise et plus pernicieuse : j’ai nommé la presse, cette catin publique. »

Ces propos véhéments auraient pu être ceux du film « Illusions Perdues » sortie en 2021 avec un casting de stars et qui raconte les débuts de la presse sous la plume tranchée d’Honoré de Balzac. Rien de nouveau donc ? Si. La perversité et les compromissions de la presse sont enfin révélées au grand jour. Il aura fallu attendre le traitement journalistique de la fameuse Covid19 pour s’en apercevoir. Sans la presse, en effet, les millions d’effets secondaires comme les décès inexpliqués en 2022 n’existeraient pas. Sans elle, des millions de femmes n’auraient pas perdu leur cycle et le taux de suicide des ados n’aurait pas explosé. La réalité est infamante pour le journaliste que j’ai toujours été : la presse, depuis 2019, a donc été le bras armé d’une gestion criminelle et bien orchestrée par une poignée d’élites dont la culture du secret confine à l’ obscénité. L’homme n’est pas libre, s’il est lié par un secret. Faut juste être du bon côté des barreaux.

Grands moralisateurs de la vie publique

Le vrai visage de la presse apparaît. Des journalistes ne s’obligent plus à mentir. Ils le font, avec un naturel confondant. Arguments identiquement fallacieux, mots outrageusement méprisants et décrédébilisants, toute la panoplie du parfait manipulateur accapare les écrans et les ondes du monde entier.

 

En 2010, j’avais déjà anticipé, malgré moi, en décidant d’arrêter de travailler pour la petite lucarne, réglée sur des sujets rebattus et dont certains sont simplement interdits d’antenne. Le cinéma apparaît être alors le dernier espace de liberté. C’est fini, ou presque. La Presse a fait le ménage, jusque dans les salles.

Depuis toujours, naïvement, je pensais que la presse était un contre pouvoir au monde économique et politique. Je dois me rendre compte qu’elle ne l’a jamais été. Bien au contraire.

Les journalistes ont toujours été ces grands prêtres, ces rabbins ou ces imams qui vous imposent avec le pâle vernis d’objectivité que leur confère le titre de journaliste, leur vision étriquée et manichéenne du bien et du mal. 24 heures sur 24, ces marionnettes du vide nous enseignent, bien tapis derrière leur écrans, le règne du relativisme absolu. Ce métier que j’ai tant aimé et auquel j’ai consacré toute ma vie s’effondre sous mes yeux écarquillés devant autant de contre sens, d’arrogance et de mensonges.

C’est LE pouvoir que tous les autres pouvoirs cherchent à s’accaparer. Tous comme les médecins avec leur serment d’Hippocrate, les journalistes ont trahi, ont renié le leur. Tout le système de l’information semble avoir été été bâti pour cette duperie mondiale.

Il y a un avant et un après 2020. Dans la hâte, le 14 novembre de la même année, je découvre que c’est le responsable France de Wikipédia qui se chargera de croquer ma pomme dans l’incontournable Wikipédia. Vision d’effroi devant des qualificatifs odieux, méprisants, sans parler d’ informations fausses pourtant accessibles à tous, preuve évidente de la manipulation manifeste de ce géant de l’information. Wikipédia ira jusqu’à me faire naitre à un endroit que j’ignore. Du grand guignol. Ainsi va Wikipédia, quand il est pris de court. Et quand au fil de cette pandémie de non sens, il révèle sa véritable mission : le blanchiment d’info mensongères. L’affaire de cette énième et pseudo agence de presse « Fact and Furious », monté à la hâte par un ancien militaire en est le triste exemple.

Une certitude, Hold-Up n’a pas du être facile à digérer pour soulever d’un bloc autant de mépris et de dénigrements à l’image de cette député européenne de la République en Marche, Illona Cicurel, inconnue jusqu’ici du grand public . Ce 12 nov 2020, elle fait son apparition sur le plateau de Cnews. Elle se présente comme la responsable de la liberté d’expression pour interdire la libre expression de… « Hold-Up ». Le ridicule ne tue plus. « Vous vous mettez en danger madame si vous parler de ce film » lance t elle menacante en pointant du doigt la journaliste Sonia Mabrouk, qui lui fait face et ne se démonte pas. Du jamais vu, ni entendu sur un plateau de TV d’une dictature en marche. Le plus choquant sera l’absence totale de réactions de la presse pour ces propos qui en disent long sur le pouvoir de cette femme. En quelque minutes, je découvre que Madame Cicurel n’est pas n’importe qui. C’est la sœur de Michel Cicurel patron de la Banque Rothschild d’ou sortent les Macron and co. Toutes les informations déversées depuis 3 ans sur Hold-Up se sont toutes révélées mensongères et diffamatoires. Qui pour en parler ? Nous sommes en guerre. Et la presse a choisi son camps. Saviez vous que la Covid 19 a permis à Monsieur Macron et ses députés d’augmenter de 25% en 2020 le budget militaire de la France pour le passer à 50 Milliards par an jusqu’en 2025. Incroyable, non ? Quelqu’un peut il m’expliquer comment un virus dont le taux de létalité  en 2020 était de 0,05 a t-il pu entrainer une explosion du marché de l’armement dont la cible se concentre uniquement sur l’homo sapiens ? Je laisse les mots de la fin à cet écrivain visionnaire, dont tous les livres auraient été sur la table de chevet de Monsieur Alfred Einstein. Point commun avec la Covid, le 19.  B. Straven a écrit ces mots en 1919, en sortant d’une guerre mondiale. « Anéantissez la presse » recommandait il ou faut il juste virez les imposteurs de 2019 ? On les reconnait facilement. Ils ont trois mots qui reviennent souvent dans leur vocabulaire : complotiste, extrême droite et anti sémite. B Straven lui semble bien connaitre cette arme de destruction massive qu’est la Presse. Petit exemple, avec la réaction de l’écrivain face à un communiqué de presse du corps expéditionnaire américain du 27 oct 1917

« Nos unités s’habituent avec beaucoup de bonheur à la vie dans les tranchées. »

« Messieurs nos cousins de l’autre côté du Grand Tohu-Bohu n’ont pas mis longtemps pour apprendre à rédiger les communiqués quotidiens tels qu’on en sache autant après qu’avant. Ce communiqué pourrait émaner de n’importe quel état-major des armées européennes. On ne s’en apercevrait pas du tout. « Nos unités s’habituent avec beaucoup de bonheur à la vie dans les tranchées. » Ou : …s’habituent avec beaucoup de bonheur aux grenades à main ; ou bien : …s’habituent avec beaucoup de bonheur aux intestins débordant des ventres étripés ; ou bien encore : …s’habituent avec beaucoup de bonheur à la mort. L’homme peut justement s’habituer à tout, à naitre, à mourir, à tuer. C’est le tragique même de l’homme, et non son privilège, comme d’aucuns l’affirment. Au lieu de s’habituer, il vaudrait mieux que les hommes dépérissent et s’éteignent plus souvent, plus rapidement, et se donnent plus promptement la mort. Peut-être l’humanité finirait-elle alors par s’élever jusqu’à l’animal. Un jour peut-être – mais rien n’est moins certain – un communiqué officiel nous annoncera : « …les unités s’habituent avec beaucoup de bonheur à la paix. » Mais je dois avouer que je redoute ce qu’aura à subir l’humanité avant de retrouver la paix et de s’y habituer. Cette crainte se fonde d’une part sur le fait qu’on puisse écrire : « Les marchands d’armes et les profiteurs de guerre n’arrivent pas à s’habituer à la paix. » L’incapacité du capitalisme hypertrophié à s’habituer à la paix pourrait bien, dans certaines circonstances, nous apporter des malheurs pires que la guerre mondiale. Il suffirait pourtant que les fabricants d’armes et les profiteurs de guerre parviennent à croire qu’ils pourraient s’habituer à la paix pour que cette paix soit assurée.

Der Ziegelbrenner n°2, 1er décembre 1917

Pierre Barnérias Réalisateur

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