Il existait un contrat entre l'Agence France Presse et le site d'informations « Fact and Furious »
Elle dénonce « la mafia » des « fact checker »
Vérifier des faits, les sourcer, les diffuser. Contrôler l’exactitude d’informations avant de les propager sur les canaux d’informations. C’est parce que les organes de presse dits « officiels » veulent, selon eux, lutter contre la désinformation qui circule depuis deux ans et demi, que des cellules de contrôles ont été mis en place. Ces cellules installées à l’initiative de l’Etat et de certains groupes de presse, commençaient déjà à prendre forme avant même la crise sanitaire qui a frappé la planète, mais elles se sont depuis, constituées en véritables organismes de détection des prétendues « fausses informations » en vue de « réinformer ».
C’est ainsi que l’Agence France Presse a créée une cellule de fact-cheking, « AFP Factuel », que les journalistes du journal Le Monde traitent des « rumeurs et intox » depuis leur rubrique « décodeurs du Monde » et que la plateforme « HoaxBuster » se donne pour mission d’identifier sur internet les « fausses informations ».
Dans une interview qu’elle vient d’accorder à Idriss Aberkane – conférencier, essayiste français et acteur bien connu des réseaux sociaux – Malika Daoust, fait des révélations stupéfiantes sur l’envers du décor. A en croire les propos qu’elle tient au « chroniqueur » d’internet dans un entretien de près d’une heure, « les fack-checker » ne seraient en réalité qu’une gigantesque tromperie, organisée, selon elle.
Antoine Daoust est le Directeur de la publication du site « Fact and Furious ». Ce site internet d’informations et d’actualités crée en 2021 s’est « engagé » est-il écrit dans ses lignes, « à lutter contre la désinformation, le complotisme et les dérives sectaires ».
Or, d’après son épouse Malika Daoust, ce site qui se voit offrir peu de temps après sa création, un partenariat « prestigieux » (celui de l’AFP) fonctionnerait selon des pratiques inavouables. Elle laisse d’ailleurs entendre qu’il ne serait pas le seul à pratiquer ce genre « d’exercices ». « Il existait un contrat entre l’Agence France Presse et « Fact and Furious », affirme-t-elle.
Antoine Daoust et son site sont fréquemment encensés par la presse (voir notamment les articles de la Dépêche du 11 février 2019 et celui du 20 mai 2022). « Ce média censé être libre et indépendant était, explique-t-elle, sous contrat avec l’AFP. Malika Daoust raconte que son époux « recevait des ordres. Sa motivation était l’argent. Parmi les organes pour qui il travaillait, il y avait l’Agence France Presse ».
« Comment travaillait le site « Fact and furious ? » demande Idriss Aberkane
A cette question, Malika Daoust répond : « C’est très rare qu’il allait sur le terrain. Tout se faisait dans le garage, par téléphone, par visio, par réseau sociaux… C’était H24 au téléphone. Il ne pouvait pas faire quelque chose sans demander l’avis de quelqu’un. Il s’est mis dans le système pour l’argent. Antoine est une personne très influençable, il faut le savoir ça ». « Savez vous qui commande ce groupe », demande Idriss Aberkane ? « Non, je ne sais pas. « Il envoie des informations, des mails, il ne peut pas travailler sans les autres ».
Il faut rappeler que Fabrice Fries, PDG et Directeur de la publication de l’Agence France Presse a été mis en examen pour un article à charge contre le documentaire « Hold-up » réalisé par Pierre Barnérias. Il est étonnant mais sans doute pas surprenant de constater qu’à ce jour, aucun média national ni régional n’ait relayé la mise en examen du patron de l’Agence France Presse. La vertu aurait-elle deux sens ?
Dans cet entretien choc, Malika Daoust laisse clairement entendre qu’il existerait des réseaux d’influences organisés, dans le seul but de discréditer toute personne, toute idée contraire au dogme « officiel ».
Il serait maintenant intéressant de connaitre la liste officielle des « sites et médias internet d’informations » ayant reçus « l’agrément » de l’Agence France Presse.
A suivre…